La philosophie du vélo en ville…version BD

Category : revue de presse

Mise à jour le 21 juin 2022

« Tout corps monté sur un vélo voit sa conception du monde entièrement modifiée. » Tel est le principe du Petit Traité de Vélosophie, énoncé par Didier Tronchet, militant de la cause cycliste en ces temps nouveaux de coronapiste. (France 3)

Nouvelle publication de son Petit traité de vélosophie, en version BD cette fois-ci, un bon résumé de sa pensée désopilante à deux roues. » (France 3)

Un petit aperçu du Petit traité de vélosophie

Le Petit traité de Vélosophie


A la rencontre de… l’homme né insecte

Mise à jour le 29 août 2020

Hymenoptera, un jardin écologique inspirant

Nos amis de l’Escarfeuille* ont mis la main sur une pépite, et comme ils sont partageux, ils partagent cette vidéo avec vous.
(Durée 48mn)

* Pour ceux qui l’ignoreraient, l’Escarfeuille est le nom du Jardin Partagé des adhérents de Lion-Environnement.


Soir d’été au Jardin Partagé…

Mise à jour le 21 juin 2022

« Luxe, calme et volupté…au jardin, un soir d’été! » (Anne et Olivier)

 


SDHI – Le rapport du Sénat

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Mise à jour le 21 juin 2022

Le Sénat a tenu en janvier et février 2020 une commission d’enquête sur les SDHI (Inhibiteurs de la Succinate DésHydrogénase), utilisés en agriculture dans certains fongicides. La question soulevée rappelle par certains aspects les débats autour du glyphosate.
La partie du texte ci-dessous en bleu est un copier-coller du début dudit rapport.

Au printemps 2018, un groupe de chercheurs menés par Pierre Rustin, directeur de recherche au CNRS, responsable des équipes Inserm travaillant sur les maladies mitochondriales à l’hôpital Robert-Debré (Paris), a montré que les inhibiteurs de la SDH ne sont pas spécifiques de l’enzyme de champignons, mais qu’ils peuvent également inhiber les enzymes humaine, de l’abeille et du ver de terre. Une alerte sanitaire a été émise auprès de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), élargie ensuite par voie de presse.

Après avoir fait réaliser une expertise collective de l’alerte, l’ANSES a conclu que les éléments apportés par les travaux de ce groupe de chercheurs ne remettaient pas en cause l’évaluation du risque inhérent à cette classe de molécules –évaluation qui a été réalisée dans le cadre réglementaire de l’autorisation de mise sur le marché et qui consiste à examiner le risque sur la santé humaine, du consommateur comme de l’exploitant agricole, et sur l’environnement, associé à ces molécules.

Ce désaccord entre les chercheurs du CNRS et l’ANSES a conduit à une commission d’enquête chargée de comprendre le problème et tenter de situer où étaient les risques.
Cette commission menée par Gérard Longuet et Cédric Vilani vient de déposer son rapport et ses conclusions sur le site du Sénat.

Vous trouverez ci dessous le rapport complet afin de vous permettre de vous forger un avis personnel.