Stop aux lâchers de ballons gonflables. Au sol comme en mer les fragments de ballons dégonflés mettent en danger la faune sauvage.

Mise à jour le 6 février 2025

Une communication de la plate forme Zéro Déchet Sauvage

En France, ce sont plus d’un million de ballons qui sont lâchés dans les airs chaque année.

​Emportés par le vent, ces ballons finissent par exploser ou se dégonfler, les fragments et ficelles par se disperser, au sol comme en mer, mettant en danger la faune sauvage.

​Ces objets à usage unique, devenus déchets en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, ont un impact bien trop lourd sur les écosystèmes. Cela ne peut plus durer ! La Méditerranée, tout comme l’Océan, sont saturés de pollutions. Il est urgent d’agir.

​Chaque année, des milliers d’animaux sont tués par ces déchets. Les millions de fragments de ballons sont ingérés par les poissons, cachalots, dauphins, tortues et oiseaux marins, provoquant intoxications, occlusions intestinales ou enchevêtrements dans les liens. Et ce, sans compter l’impact des produits chimiques associés.

Présentés comme une solution, les ballons vendus avec la mention “biodégradable” ne possèdent aucun caractère normatif. Il s’agit donc d’un argument de vente trompeur. L’ADEME, rappelle par ailleurs, que l’appellation biodégradable (…) ne peut en aucun cas être prétexte à l’abandon d’un produit dans la nature.

​Que diraient les enfants s’ils connaissaient leurs conséquences dramatiques ? Probablement, auraient-ils envie de changement…et auraient-ils mille idées sur des manières de faire autrement.

​Pourquoi imposer à la faune marine ces déchets plastiques ?
 Les mers et les océans ont plus que jamais besoin de vous.

Suite au lâcher de plus de 200 ballons gonflables, le 13 octobre, par la commune de Vidauban, dans le Var, non loin de nombreux sites protégés qui balisent notre merveilleux territoire : le Sanctuaire Pelagos, le Parc national de Port-Cros, les nombreuses Zones Natura 2000, les associations Explore & Preserve, MerTerre, Surfrider Foundation Europe, No Plastic In My Sea, Ailerons, Zero Waste Sophia, Expédition Septième Continent, Longitude 181, LPO-PACA, FNE-PACA, Wings of the Ocean, BLOOM demandent une interdiction pure et simple de ces pratiques sur tout le territoire.


« Le loup, ni monstre, ni peluche » Suite et fin de la semaine du loup avec une animation à l’école le lundi 4 novembre.

Proposée par Lion Environnement dans le cadre de la semaine du loup, la dernière animation « le loup, ni monstre ni peluche » a eu lieu aujourd’hui à l’école de Lion-sur-mer.

Léo, intervenant pour le CPIE, a tout d’abord instauré un jeu des questions et des réponses pour tout connaître sur les différentes espèces animales et leurs caractéristiques. Les enfants se déplacent, vont coller une étiquette sur une photo au tableau. Renard, couleuvre, chouette, blaireau, le classement se précise, s’affine… mammifère, ovipare… aucun mot qu’ils ne connaissent déjà.

Puis on se rassemble autour des tables où se trouvent des squelettes, des crottes, des empreintes qu’il faut identifier.

Après ce tour d’horizon, Léo s’attache à revenir sur les canidés en général puis sur les loups en particulier. Loup rouge, loup gris, loup du Canada ou d’Abyssinie, ils les connaissent, les élèves du CE2/CM1 de Madame Cengarle !!

Reste à aborder comment vivent les loups, ce qu’ils mangent, combien sont-ils ? Et en France ? Un peu plus de 1000 individus sont recensés dans les massifs montagneux.

Après un dernier jeu du vrai/faux pour vérifier ce qu’on a appris, la récréation était bien méritée après ces deux heures d’attention et de participation soutenues.


Le retour du loup

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Vendredi 11 octobre, à 20h30 au cinéma Trianon, nous avons assisté au film de Jean Michel Bertrand, Vivre avec les loups. 1h30 de rencontres, de montagne, de discussions, d’informations et d’images magnifiques en suivant le réalisateur sur sa drôle de moto, dans sa cabane perchée, par tous les temps et à toutes les heures de la journée à la rencontre des loups, revenus habiter le massif des écrins après en avoir disparu pendant près de 100 ans.

A l’issue de la projection, malgré une vidéo-projection défaillante, nous avons pu remercier le réalisateur de nous avoir embarqué avec lui, évoquer ce difficile équilibre à trouver entre des habitants et des bergers souvent réticents et des loups qui retrouvent leur place dans la grande chaine de la biodiversité.

Le réalisateur était passionnant et passionné, les images superbes et l’écoute attentive entre la cinquantaine de spectateurs présents.


AlimenTerre 2024, c’est parti

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Mise à jour le 19 novembre 2024

Mardi 8 octobre, salle de la mer à Bernières , Les différentes associations et municipalités engagées dans ce festival sont venues présenter la nouvelle édition. Cette année, Courseulles nous a rejoint et nous sommes désormais 8 villes à proposer projections, rencontres et cette année à Saint Aubin une soirée Théatre documentaire.

Bernières ouvrira le festival le 19 octobre avec le film « Traînée de poudre » à 18h30 salle de la mer, Lion sur mer assurera la dernière soirée avec le film » La dernière graine » qui sera suivi d’une rencontre avec des maraichers et paysans semenciers. Ce sera le vendredi 29 novembre. A vos agendas!

le festival est ouvert par Thomas Dupont-Federici maire de Bernières et Gilles Mariey coordinateur du collectif de la cote de nacre